perdu le fil
Ecole maternelle de Vaux cette fois... est-ce l'ordre du jour assez mince ou le déplacement, en tous cas l'assistance est très réduite, cinq personnes. On pourrait faire l'appel, tellement cela ressemble au rendez-vous du microcosme mérysien. Quelques échanges à signaler. L'opposition a ferraillé sur le coéfficient familial. Une de leur plus forte critique concernait l'obligation d'informer la mairie des revenus imposable du foyer pour les usagers des prestations comme la cantine et les garderies. Je ne pense pas travestir leur propos en parlant de l'expression d'une crainte d'une inquisition fiscale inopportune. Totalement hors de la plaque... mais vous savez,les revenus, l'argent, la fortune font partie intégrante de l'intimité en France... pour ceux qui en ont (de l'argent).
Et voilà que la discussion s'emballe... et que je perd une occasion de ne pas lever le doigt. Mon intervention, trop confuse, une vraie boulette, a eu le mérite de clore la discussion. Un long silence de réflexion, tous étant à la recherche de ce que je voulais dire, a permis que la séance reparte.
Traduction en clair :Oui, il existe de nombreux cas ou un chantage, une transaction s'exercent entre l'administration et les administrés. Par exemple, les jeunes gens peuvent ne pas se faire recenser à leur seizième anniversaire. Ils ne pourront toutefois passer aucun examen, que ce soit le bac ou le permis de conduire.
Alors pourquoi mégoter sur l'obligation d'informer la mairie sur la communication de son revenu imposable... alors que celle -ci prend à son compte au minimum de 50 à 82% du prix des repas. La prochaine fois je prendrai le temps de l'écrire... au brouillon ou sur ce blog.